Rencontre aux Quatre Chênes [terminé]

Je m'arrêtais dans la clairière, sous les quatre chênes majestueux qui avaient donnés son nom à l'endroit. J'étais allée trop loin, j'en avais conscience, mais je n'allais pas faire demi-tour alors que je n'avais rien attrapé! J'étais une chasseuse médiocre, certes, mais n’exagérons rien. Mais pourquoi est-ce que j'étais là, d'abord ? Voilà comment tout a commencé...

Je me levais aux aurores, et lorsque je sortis de ma tanière, une bourrasque de vent vint me saluer, comme chaque matin. J'avançais à grands pas vers le trou de gibier, devant lequel mon mentor m'attendait. Je le saluais et lui proposais de manger un morceau avec moi, et le vieux matou accepta avec plaisir. Nous nous sommes donc partagés un lapin dodu avant de partir pour mon évaluation. C'était ma première, celle de combat viendrait ensuite. Je n'avais que 8 lunes, je savais que même en les réussissant haut la main, je ne deviendrais pas apprentie tout de suite... Mais j'aimais bien rêver. Je pensais justement à mon futur baptême. Quel serait mon nom de guerrière? Quel exploit me vaudrait ce privilège ? Je rêvassais tellement que je ne vis, ni ne sentis, le gros rongeur qui s'enfuit lorsque qu'une brindille craqua sous ma patte. Zut! Je suis vraiment nulle.Je me concentrais à présent sur mon évaluation. Je levais la truffe, et la brise m'apporta l'odeur d'un beau lièvre, que je repérais quelques instants plus tard. L'animal était tapis dans un buisson, en train de grignoter des baies.
Je saisis l'occasion et m'approchais de lui à pas de loup. Mais le vent tourna et l'animal pris peur en me sentant, et s'enfuit. Mais je n'allais pas abandonner comme ça! Je me lançais à ses trousses, et très vite je rattrapais l'animal. Mais celui-ci était malin, et me fit effectuer d’audacieux demi-tours avant de prendre la direction des Quatre Chênes. Je suivis l'animal, jusqu'à-ce qu'il disparaisse dans un trou, creusé dans le sol... Juste au pied d'un des grands chênes! J'étais allée trop loin, j'en avais conscience. Et alors j'entendis une branche craqué, et je commençais à m'inquiéter.

Ce jour ci était un beau jour de la saison des feuilles vertes. Je me levai et remarquai le soleil était déjà à son zénith. Je pris vite conscience que la faim me tiraillait l'estomac. Je m'approchai donc de la réserve de gibier. Je me choisis une pie que je dévorai en quelques bouchées. La réserve était médiocre, j'entrepris donc d'aller chasser. A peine sorti du camp, je sentis une odeur de souris. Celle-ci me mit l'eau à la bouche. Je m'approchai de ma proie sur la pointe des coussinets. Le vent était contre moi; cela m'arrangeait bien, car je n'avais pas envie de commencer la journée par un échec. Je bandai mes muscles et je sautai. J'achevai la souris d'un coup de patte. Je humai l'air pour repérer une nouvelle odeur de proie. J'aperçus rapidement un écureuil en train de grignoter une noisette. Le vent était en faveur du rongeur, cette fois-ci. Il me repéra et s'enfuit à toute allure. Je le poursuivis, de peur de le rater. Je me rendis vite compte que celui-ci se dirigeait tout droit vers les Quatre Chênes. Je perdis petit à petit du terrain et finis par abandonner.Crotte de Souris ! Je m'arrêtais brusquement au pied d'un des Quatre Chênes pour faire ma toilette quand, soudain, j'entendis une branche craquer sous mes pattes.

Aux alentour de midi, un beau jour de la saison des feuilles vertes, je patrouille en solitaire sur mon territoire et chasse pour mon clan. Je viens à peine de trouver une piste de gibier et ne suis tombée sur aucune proie en venant ici, à proximité des Quatre Chênes. Soudain, je repère une odeur musquée de souris. J'entrouvre la gueule pour mieux repérer ma proie. Je finis par la dénicher, qui grignote une noisette au pied d'un sapin. Je me tapis à l'ombre d'un roncier et m'avance sur la pointe des coussinets. La souris s'arrête de manger et observe autour d'elle, tous ses sens en alerte. Je retiens ma respiration et ne bouge plus pour ne pas me faire repérer. La souris reprend sa besogne. Je bande mes muscles, prête à bondir, lorsqu'un éclat de voix résonne tout près. La souris s'enfuit en abandonnant son butin. Énervée, je me relève et dresse l'oreille pour déterminer l'origine du boucan. J'exagère, bien sûr, ce n'est qu'une voix. Que je ne connais pas, d'ailleurs. Elle semble provenir des Quatre Chênes. Je me rend donc à la source de ce bruit pour vérifier si l'auteur n'aurait pas par hasard oublié de respecter les frontières. Là, à l'ombre des Quatre Chênes, devant le Grand Rocher, j'aperçois l'ombre d'un voir de plusieurs chats. Je m'approche en silence, me cache derrière une grosse racine, et espionne l'importun. Je sens à son odeur qu'il ne fait pas partie du Clan de l'Ombre.

le soleil qui filtre a travers la branche de ma tanière me réveille. tout en émergeant, je commence a faire ma toilette, puis, une fois celle-ci finie, je sors de ma tanière. mon regard parcours la clairière. mon lieutenant est en train de faire les patrouilles, les chatons jouent devant la pouponnière, sous le regard attentif de leurs mères, les guerriers vaquent a leurs occupations. enfin une journée qui commence bien ! en m’approchant de la réserve de gibier, je remarque qu'elle n'ai pas bien garnie. temps mieux, j'ai envie de sortir un peu aujourd'hui !
je sortie alors du camp par le tunnel de fougère, accompagnée par le soleil. en humant l'air, je sentis les premières effluvent de la saison des neiges. se genre de temps ne restera pas bien longtemps, autant en profité !
je sentis alors l'odeur d'un campagnol, le vent était contre moi, temps mieux ! j’approchais a pas de loup et vis ma proie. je bondis soudain sur celle-ci. elle n’eut pas le temps de comprendre se qui lui arrivait, qu'elle n’était déjà plus qu'une petite masse inerte dans ma gueule. en remerciant le clan des étoiles pour cette proie, je continuais ma route vers les 4 chênes. en chemin, j’attrapais une souris et une grive supplémentaires, que j'enterais au pied d'un arbre.
un fois près des 4chênes, j'entendis des voix. en humant l'air, je vis qu'elles venaient de clan differents. je me cachais dans les taillis pour observer les membres des autres clans.

Je fis volte face en entendant craquer la branche, le poil hérissé sur mon échine et les crocs découverts. Je priais pour que ce ne soit qu'une simple proie. Mais mon odorat me détrompa bien vite. Le chat qui se tenait en face de moi faisait partit du clan du Tonnerre.
J'osais quelques pas dans sa direction, bandant mes muscles au cas où le guerrier m'attaque. Je savais que le clan du Tonnerre n'était pas méchant ~~Mauvaise formulation, le mot ne paraît pas convenir.~~ , mais je me tenais parée à toute éventualité. J’essayais de déterminer si je connaissais ce guerrier, mais il m'était inconnu. La seule fois où j'étais allée à l'Assemblée, à la dernière pleine lune, je discutais plutôt. avec le clan de la rivière... Et j'avoue ne pas m'être beaucoup éloignée de mon mentor. Je ne reconnu donc pas l'odeur de l'inconnu.
Je lui lançais donc d'une voix où j'essayais de cacher ma peur:
- Bonjour.
Je fixais désespérément le buisson derrière lequel se cachait mon ennemi -ou bien mon ami ?- en espérant qu'il se montre et me sourit en me saluant. J'avais vraiment peur d'être attaquée.

J'étais en train de faire ma toilette quand j'entendis une voix. Je fis volte face et reconnu l'odeur du Clan du Vent. Mes poils se hérissèrent sur mon échine, d'instinct.
Je m'extirpais de l'endroit où j'étais dissimulé. Je bandis mes muscles et sautais sur la cervelle de souris qui m'espionnait, les crocs découverts et les griffes sorties. Voyant que ce n'était une petite boule de poil, ma fourrure retomba sur mon dos. Un chaton. J'allais tout de même lui donner une bonne leçon qu'il n'oublierait pas de sitôt.
Je vis qu'il tremblait, mais cela n'avait pas d'importance pour moi. Autant lui apprendre les limites des frontières tous de suite ! Je le plaquais au sol et leva ma patte, toutes griffes dehors, pour lui donner un coup. Quand soudain j'entendis un feulement en provenance du Grand Rocher.

J'observais: un chat du clan du tonnerre faisait sa toilette. Je le connaissais pour l'avoir déjà vu à l'Assemblée: Soleil du Matin. Il sursauta en entendant une petite voix le saluer. Il bondit sur le chaton qui avait poussé ce petit miaulement. Il sembla se calmer en remarquant que ce n'était qu'un apprenti, mais quand je le vis s’apprêter à frapper tout de même, je ne pus m’empêcher de bondir de ma cachette en poussant un feulement de toute la puissance de mes poumons: "Arrête ça tout de suite! Tu ne vois pas que c'est presque un chaton?!" En disant cela, je m'approche de ce... ce fou dangereux en gonflant mon épaisse fourrure et en montrant les dents. A la moindre erreur de sa part, je lui saute dessus à cette brute!!!
"Tu ne vois pas qu'il est terrorisé, non?! Tu n'as pas besoin de lui dispenser ce genre de leçon pour le faire rentrer chez lui! De plus, je te signalerai que cet apprenti du Clan du Vent n'est pas en infraction vu que les Quatre Chênes sont un territoire neutre!"

De là où j'étais, je vis Soleil du Matin faisant sa toilette. Puis je sentis l'odeur du clan du vent et vis une toute petite apprentie du clan du vent s'approcher de ma lieutenante et lui lancer un tout petit bonjour, que celle-ci ignora royalement. elle s’apprêtait maintenant à l'attaquer. j'allais sortir des taillis ou j’étais cachée pour lui dire d’arrêter quand une voix en provenance du grand rocher me fit arrêter. ohlààà, ça se gâte par ici... le clan de l'Ombre, pensais-je en humant l'air. la nouvelle venue étais la jeune lieutenante du clan adverse, Coeur de Tempête. et zuuut.... on est pas dans la *****. ~~Le language est quelque peu déplorable.- Petit Galet~~

- Arrête ça tout de suite! Tu ne vois pas que c'est presque un chaton?!

lança Coeur de Tempête. Elle reprit son souffle, et s'approcha de Soleil du matin en reprenant :

- Tu ne vois pas qu'il est terrorisé, non?! Tu n'as pas besoin de lui dispensé ce genre de leçon pour le faire rentrer chez lui! De plus, je te signalerai que cet apprenti du Clan du Vent n'est pas en infraction vu que les Quatre Chênes sont un territoire neutre!

Bon, on va avoir des problèmes avec les autres clans... tant pis, je vais essayer d'arranger un peu l'histoire. je sortis des buissons, et dis d'un air sevère :

- Quelqu'un voudrait bien m'expliquer ce qu'il se passe ici ?

Les buissons que j'observais s'ouvrit sur un chat imposant. Je le reconnus, c'était le lieutenant du Clan du Tonnerre. Mais son nom ne me revenait pas pour autant. Son regard se posa sur moi et il sembla soulagé. Ce n'était que moi. Alors que je ne le pensais pas méchant, il me prit au dépourvu lorsque sa grande masse beige me fondit dessus pour me plaquer au sol ~~et je parle pas de la syntaxe~~. Je miaulais, furieuse, lorsque que l'odeur du Clan de l'Ombre parvint à mes narines. Je me tordis le cou pour essayer d'apercevoir une quelconque silhouette, que je localisais rapidement. Soudain la lieutenante du Clan de l'Ombre surgit de derrière le Grand Rocher en feulant comme une folle:

-Arrête ça tout de suite! Tu ne vois pas que c'est presque un chaton?! Tu ne vois pas qu'il est terrorisé, non?! Tu n'as pas besoin de lui dispenser ce genre de leçon pour le faire rentrer chez lui! De plus, je te signalerai que cet apprenti du Clan du Vent n'est pas en infraction vu que les Quatre Chênes sont un territoire neutre!

Son cris failli me faire éclater les tympans tant elle avait parlé fort.

La voix d'un troisième chat parvint à mes oreilles:

-Quelqu'un voudrait bien m'expliquer ce qu'il se passe ici ?

Je reconnus la voix du chef du Clan du Tonnerre, qui m'avait tant captivée à l'Assemblée. Que pouvait-elle bien faire là?

Mon instinct me souffla alors de m'enfuir. Je donnai un coup de patte au lieutenant qui me maintenait au sol et courus jusque derrière le Grand Rocher pour me cacher. J'espérai que la chef du Clan du Tonnerre dissuaderait son lieutenant de me poursuivre et qu'ils rentreraient bien vite chez eux. Je pris la direction de mon territoire

HRP:

Je regardais la lieutenante du Clan de l'Ombre d'un regard glacial. Cervelle de souris ! Puis, en voyant l'apprenti du Clan du Vent se tortiller sous ma patte, je la soulevais et celui-ci s'enfuit à vive allure.
- Cela ne te regardait pas ! lançais-je à la lieutenante du Clan de l'Ombre.
Je montrais les crocs. Mes griffes me démangeaient, tellement j'avais envie de les planter dans l'épaisse fourrure de la guerrière ennemi. Puis, j'entendis un miaulement familier.

-Quelqu'un voudrait bien m'expliquer ce qu'il se passe ici ?

Etoile de Feuille. Je lançais un dernier regard à la lieutenante ennemis puis je détournais les yeux pour les plonger dans ceux de ma chef.

-Cette minuscule boule de poil m'empêchait de faire ma toilette tranquillement. disais-je en désignant du bout de la queue le buisson où s'était enfuis l'apprenti du Clan du Vent.

Je vis la minuscule apprentie du clan du vent se réfugier derrière le Grand Rocher. Elle allait sans doute rentrer chez elle et ne jamais retenter l'aventure de s'adresser à un inconnu de manière aussi amicale. Tant mieux, au fond. Même si ce rustre avait bien trop exagéré.

- Cela ne te regardait pas !, cracha Soleil du Matin

Je voyais bien qu'il était prêt à me bondir dessus, toutes griffes sorties. Je m’apprêtais au combat lorsque la voix du chef du clan du tonnerre, Étoile de Feuille, retentit:

-Quelqu'un voudrait bien m'expliquer ce qu'il se passe ici ?

Soleil du Matin me jeta un regard glacial avant de répondre à son chef:

-Cette minuscule boule de poil m'empêchait de faire ma toilette tranquillement.

Et cela justifiait-il un tel comportement?!, criai-je furieuse

S'en prendre à des chatons sans défense! Elle est belle la mentalité du Clan du Tonnerre! Et sache que même si ce n'est que la tienne, tu es le lieutenant de ce clan donc influent sur ses membres! Si tu continu ainsi, je ne m'étonnerai pas que le reste de ton clan adopte le même comportement!, feulai-je

La fourrure hérissée, je me tenais toujours prête au combat. Je ne porterai pas le premier coup, je vaux plus que ça. A Soleil du Matin de me prouver qu'il vaut lui aussi mieux qu'un vieux renards sadique, ronchon et territorial!

Pourquoi faut-il que les chats fassent toujours des histoires pour un rien... pensai-je, exaspérée.

-Cette minuscule boule de poil m'empêchait de faire ma toilette tranquillement. , répondit ma lieutenante.

Et c'est une raison valable, ça? pensai-je. Je n'eus pas le temps de reprendre ma lieutenante que celle du clan de l'Ombre répondit :

- Et cela justifiait-il un tel comportement?!, cria-t-elle, furieuse.

Elle reprit :

-S'en prendre à des chatons sans défense! Elle est belle la mentalité du Clan du Tonnerre! Et sache que même si ce n'est que la tienne, tu es le lieutenant de ce clan donc tu influes sur ses membres! Si tu continues ainsi, je ne m'étonnerai pas que le reste de ton clan adopte le même comportement!, feula-t-elle.

-VOUS ALLEZ VOUS CALMER, OUI ?!!

Non mais, pour qui ils se prennent, ces deux là...

-Hé, toi! Sors de derrière ce rocher, on ne va pas te manger, tu sais... repris-je, plus amicale.

-Soleil du Matin, on aura une discussion en rentrant au camp, je veux te voir dans ma tanière. Cœur de Tempête, comment oses-tu parler comme ça du clan du Tonnerre ? Je comprends que tu sois fâchée contre Soleil du Matin mais ce n'est pas une raison ! Tu es irresponsable, de juger un clan par un seul de ses membres, c'est inadmissible !

Ce qu'ils peuvent être agaçant, ces deux là...

~~attention! pas de "s" au passé simple! Écrivez: /J'évitai le coup qu'il tenta de m'asséner/ plutôt que: /j'évitais le coup qu'il tenta de m'asséner/~~

Ma fourrure me piquetait. Je me dandinais sur mes pattes tellement que j'étais mal à l'aise d'être repris devant le Clan de l'Ombre.
-J'en ai pas fini avec toi!, feulais-je en regardant la lieutenante ennemie. Celle-ci me regardait avec un sourire narquois.
Ma chef me toisait durement. Je vis dans ses yeux une lueur de compassion mais aussi d'agacement et d'énervement. Je ne vais tout de même pas me laisser faire! pensais-je.
Je vis le chaton du Clan du Vent au pied du Grand Rocher. Je m'approchais de celui-ci.

Hey, toi ! Je ne t'oublierai pas de sitôt, la prochaine fois que tu espionnes le Clan du Tonnerre tu seras réduite en chair à corbeau !

Je traversais la clairière pour rejoindre ma chef en jetant un regard glacial à Cœur de Tempête.

~~Remarque à ton attention, Soleil du Matin : les mots conjugués à la première personne singulière de l'imparfait ont la terminaison [ais], et pas [ai].~~

Non mais, je rêve? Je viens juste de signaler à ce chef que son lieutenant est dangereux, très dangereux, et elle fait comme si j'avais insulté son clan? Enfin, je peux comprendre, tout le monde ne comprend pas la "magie" des mots. Je viens tout juste de la prévenir que les autres clans risqueraient d'avoir une mauvaise opinion d'eux. Je viens également de la prévenir de prendre garde à son clan trop loyal: oui, ce sont de bons guerriers, mais trop loyaux, beaucoup trop loyaux. Il s'en faudrait de peu pour qu'ils suivent un fou, même si ils ne sont pas des cervelles de souris! Je le sais, la même chose est arrivée aux clans dans le passé, il n'y a que trop d'histoires racontées par les anciens dans lesquelles des clans amicaux deviennent ennemis du jour au lendemain par la faute d'un meneur trop ambitieux... Bref, j'ai essayé de la prévenir, qu'elle se débrouille pour la suite: elle n'est pas mon chef! Je me retire tranquillement vers mon territoire sans un mot de plus. Je chasse encore un peu avant de rentrer au camps: que cette sortie ait servie à quelque chose, tout de même!

~~Remarque à l'attention de tous : on n'écrit plutôt "s'ils" à la place de "si ils", de nos jours. C'est une écriture acceptée de tous, et que je trouve plus pratique. Merci de votre attention.~~

ma lieutenante lui dit :

Hey, toi ! Je ne t'oublierai pas de sitôt, la prochaine fois que tu espionnes le Clan du Tonnerre, tu seras réduit en chair à corbeau !

-Soleil du Matin ! J'ai bien compris que tu ne l'aime pas, mais elle a raison sur le point qu'il y a des limites. Tu as fait une erreur, reconait le au lieu d'en rajouter une couche.... désolée pour le dérangement, Coeur de Tempête.

Sur ce, je fis demi tour et me dirigea vers le camp. En route, je n'ouvris pas la gueule. Trop mécontante du comportement de mon lieutenant. C'est vrai, quoi... attaquer une apprentie qui ne lui avait rien fait, en territoire neutre de plus ! Enfin bon, ce qui est fait et fait. Je déteste donner raison au clan inverse, encore plus au clan de l'ombre. Et cette cervelle de souris m'y a quasiment obligé... en ruminant dans mon coin, j'arrivais au camp et convoquais Soleil du Matin dans ma tannière.

~~Les chats, ça a une gueule, pas une bouche.~~

~~Simple commentaire plus personnel, je trouve que tu mets trop de points de suspensions, c'est lassant.~~

Messages : 193 Date d'inscription : 28/07/2016 Localisation : L'internet

Pour cause d'erreurs répétées sur la terminaison de la première personne du singulier de l'imparfait, je me permets de demander vigilance à vous tous : la terminaison est [ais], pas [ai].

J'aimerais aussi mentionner les confusions entre la terminaison à cette tant déstabilisante première personne du singulier entre le subjonctif et le futur simple, dans le cas du subjonctif, on aura comme terminaison [rais], alors que pour le futur, simplement [rai].

~~lol, tu oublis le [ai] du passé simple, qui n'est pas à confondre avec le passé composé! Signé: Cœur de Tempête~~

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